Destination Abitibi-Témiscamingue

Témiscamingue

Région Témiscamingue

MRC Témiscamingue

Municipaltés

Béarn est une municipalité du Québec (Canada), située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.

 

Le nom de Béarn vient du régiment de Béarn, un détachement militaire ayant pris part à divers conflits dont la Bataille de Fort Carillon en 1758 avec le général Montcalm. Le régiment a été créé dans la région du Béarn (aujourd’hui inclus dans les Pyrénées-Atlantiques) au sud-ouest de la France en 1684 et dissout en 1762.

 

La municipalité de Béarn couvre plus de 500 km2. Dans ce territoire on retrouve de nombreux lacs et un relief typique du bouclier canadien oscillant entre 150 et 350 m d’altitude. Sur le territoire municipal, la région écoforestière présente est l’érablière à bouleau jaune.
Le défrichement de la région débute en 1886 alors que se développent parallèlement les villes de Ville-Marie et de Témiscaming. Deux pionniers partiront de Saint-Côme dans le comté de Joliette pour s’établir dans la région, il s’agit de Dieudonné Bellehumeur et de son fils Lactance5. Ils construiront une maison en 1896 qui, en 2016, est toujours présente.

 

C’est en 1889 qu’on commence la mission catholique. En 1910, le premier prêtre résidant arrive, l’abbé Joseph Lachapelle. Il conserve ce rôle pour cinquante années avant d’être remplacé par J. Adrien Pleyer suivi de Michel Vezeau.

 

La paroisse religieuse de St-Placide-de-Béarn est officiellement fondée en 1912. La municipalité est fondée la même année, soit le 3 octobre 1912. L’industrie à l’époque est principalement axée sur la foresterie et l’agriculture.

 

L’industrie ferroviaire viendra donner un bond en 1923 et sera abandonnée au milieu des années 1980. Une mine d’or, la mine Montclerc, sera également exploitée entre 1938 et 1945 à la suite de sa découverte par Ambroise Bellehumeur.

Belleterre est une ville de la province de Québec (Canada), dans la municipalité régionale de comté de Témiscamingue de la région administrative Abitibi-Témiscamingue.

 

13 mai 1942 : Fondation de la ville de Belleterre.
Belleterre a été fondé en 1942 à la suite de la découverte par William Logan de gisements d’or. Une mine fut en exploitation dès 1935. À cette époque prospère, 2 000 personnes y vivaient.

 

En 1957, le filon donnant des signes de raréfaction, la mine a été fermée.

 

Aujourd’hui, Belleterre est une municipalité vivant de la forêt, du tourisme, de la chasse et de la pêche.

 

Le gentilé de l’endroit est Belleterrien(ne).

Duhamel-Ouest est une municipalité de la province de Québec, dans la municipalité régionale de comté de Témiscamingue de la région administrative Abitibi-Témiscamingue. La municipalité est membre de la Fédération des Villages-relais du Québec.

 

Située à un détroit du lac Témiscamingue, Duhamel-Ouest est située au lieu historique national du Fort Témiscamingue.

 

Superficie : 127,61 km2

 

20 février 1911 : Fondation de la municipalité de Duhamel-Ouest.

Fugèreville est une municipalité du Québec située dans la municipalité régionale de comté de Témiscamingue de la région administrative Abitibi-Témiscamingue.

 

Cette localité a été nommée en l’honneur de l’abbé Joseph-Armand Fugère, le fondateur de la paroisse catholique au début du xxe siècle.

 

Gentilé : Fugèrevillois, Fugèrevilloise

 

5 février 1904 : fondation des cantons unis de Laverlochère-et-Baby.
1921: Les cantons unis de Laverlochère-et-Baby deviennent la municipalité de Fugèreville.

Guérin est une municipalité de canton au Témiscamingue, en Abitibi-Témiscamingue, au Québec (Canada).

 

Cette localité est nommée en l’honneur de James John Edmund Guerin, qui a été maire de Montréal au début du xxe siècle.

 

Gentilé : Guérinois, Guérinoise.

 

1904 : fondation du canton du Guérin.
8 novembre 1911 : le canton de Guérin est incorporé en municipalité de canton.
Le fonds d’archives de la Paroisse Saint-Gabriel de Guérin est conservé au centre d’archives de Rouyn de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Kipawa est une municipalité du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.
La municipalité comprend les villages de Tee Lake, siège de l’administration locale, et de Kipawa, au bord du lac du même nom. La réserve indienne de Kebaowek est enclavée dans le village de Kipawa.


Le nom de Kipawa provient de l’algonquin et signifie C’est fermé. Le nom provient du lac Kipawa, dont les très nombreuses baies font de ce lac un véritable labyrinthe.


1er janvier 1985 : Constitution de la municipalité de Kipawa.

Laforce est une municipalité de la province de Québec (Canada), dans la municipalité régionale de comté de Témiscamingue de la région administrative Abitibi-Témiscamingue.

 

Fondée en 1938, la colonie de Laforce est nommée en l’honneur du ministre de la colonisation de l’époque, Joseph-Ernest Laforce.

 

C’est l’ouverture en 1937, du chemin qui relie Moffet à Laforce qui a permis le développement de cette colonie bâtie au cœur d’une vaste forêt vierge. Le premier à s’y établir est le commerçant et industriel Cyriaque Larouche, arrivé le 28 mai 1938. C’est lui qui ouvre le premier magasin (Magasin Devlin 1938) et le premier moulin à scie. Les premiers colons sont Napoléon Breton et son fils Rosaire, arrivés le 5 juillet 1938 pour y défricher la première terre du canton Brodeur. Sa famille de 19 enfants arriva à l’automne 1938. Un premier groupe de 13 colons arrive le 18 juillet 1938, un second le 1er août 1938 et un troisième le 7 octobre 1938. La première école ouvre ses portes en 1938. Laforce est un village qui respecte en tous points les prescriptions du Ministère de la colonisation. On y retrouve encore toutes les composantes d’un village de colonie des années 1930 et 1940 : le presbytère, le dispensaire, le magasin général, la résidence de Cyriaque Larouche, l’école, l’église et la première ferme. Plusieurs maisons du village et même l’église ont conservé leur revêtement extérieur ancien et respectent les plans approuvées par le Ministère. On y retrouve également une grange de colonie typique avec sa toiture mansardée.

 

Le 1er janvier 1979, Laforce devient une municipalité4. C’est la dernière-née des municipalités témiscamiennes.

Latulipe-et-Gaboury est une municipalité de cantons unis de la province de Québec (Canada), dans la municipalité régionale de comté de Témiscamingue de la région administrative Abitibi-Témiscamingue.

 

Latulipe-et-Gaboury est jumelée avec la commune de Brocas (France).

 

Latulipe rappelle le nom de l’évêque Élie-Anicet Latulipe, tandis que Gaboury fait référence à l’homme politique Tancrède-Charles Gaboury.

 

1909 : Fondation du canton de Latulipe.
1919 : Fondation du canton de Gaboury.
18 novembre 1924 : Création des cantons unis de Latulipe-et-Gaboury par la fusion des cantons de Latulipe et de Gaboury.

Lorrainville est une municipalité du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.
Lorrainville a été nommée en l’honneur de monseigneur Narcisse-Zéphirin Lorrain (1842-1915), vicaire apostolique du Pontiac de 1882 à 1898 et responsable des missions aux lacs Témiscamingue et Abitibi.

 

1er janvier 1913 : Constitution de la municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Lorrainville.
Entre 1912 et 1994 : Notre-Dame-de-Lorrainville devient la municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Lourdes-de-Lorrainville.
14 avril 1930 : La municipalité du village de Lorrainville se détache de Notre-Dame-de-Lourdes-de-Lorrainville.

 

16 février 1994 : Fusion entre Notre-Dame-de-Lourdes-de-Lorrainville et Lorrainville pour former la municipalité de Lorrainville.
2007 : Centenaire de Lorrainville

Moffet est une municipalité du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.


La municipalité est nommée en l’honneur du frère oblat Joseph Moffet, surnommé le « père du Témiscamingue ». Il est possible que cette municipalité ait anciennement porté le nom de municipalité de Saint-Romuald-de-Moffet.

Gentilé : Moffétois, Moffétoise

Nédélec est une municipalité de canton du Témiscamingue, en Abitibi-Témiscamingue, au Québec (Canada).


Le nom de la municipalité Nédélec rappelle le souvenir du père oblat Jean-Marie Nédélec (1834-1896), missionnaire chez les Algonquins des lacs Témiscamingue et Abitibi (1863-1896). Son patronyme vient du mot breton Nedeleg, qui veut dire Noël.


1er février 1909 : Fondation du canton de Nédelec.
1915 : Constitution de la municipalité du canton de Nédelec.


1985 : Le canton de Nédelec devient le canton de Nédélec.


7 octobre 1995 : Annexion du territoire non organisé de Roulier (localité jamais érigée en municipalité, établie en 1932 dans le cadre du plan de colonisation Vautrin ) au canton de Nédélec.

Notre-Dame-du-Nord est une municipalité du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.

 

Son histoire débute avec l’arrivée d’un missionnaire résident à la Tête-du-Lac, en 1896.

 

La municipalité a été constituée le 23 septembre 1919 sous l’appellation de municipalité du canton de Nedelec-Partie-Sud. Elle est renommée municipalité de Notre-Dame-du-Nord, en 1928, en référence à sa situation au nord-est du lac Témiscamingue.

 

Notre-Dame-du-Nord a fêté son centenaire en 1996. Depuis l’arrivée du premier missionnaire résidant à la tête du lac en 1896, au début de la colonisation, beaucoup d’évènements sont venus marquer la vie de ses habitants.

 

Dès le départ, l’histoire de cette communauté se caractérise par les relations entre les différents groupes ethniques en présence: les Algonquins, les Canadiens-français et les Anglophones, d’origine écossaise et irlandaise.

 

Au fil des ans, la paroisse prend de l’ampleur. Un presbytère est construit en 1921 et l’église l’est en 1922 pour remplacer la chapelle de Tête-du-Lac. Tous deux été épargnés lors du Grand Feu de 1922.

Rémigny est une municipalité du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.


Le territoire de Rémigny comprend 17 lacs accessibles par la route, dont 12 sont reconnus pour la pêche. Pour cette raison ainsi que l’étendue de son territoire, la population augmente durant la saison estivale et la saison de la chasse.

Saint-Bruno-de-Guigues est une municipalité du Québec (Canada) située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue2. Elle est nommée en l’honneur de l’évêque Joseph-Eugène-Bruno Guigues.

La rivière à la Loutre traverse la municipalité vers le nord-ouest pour aller se déverser sur la rive est de la rivière des Outaouais.

Saint-Édouard-de-Fabre est une municipalité de paroisse du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue. Elle est nommée en l’honneur de l’évêque Édouard-Charles Fabre.


3 octobre 1912 : Fondation de la paroisse de Saint-Édouard-de-Fabre.

Saint-Eugène-de-Guigues est une municipalité du Québec située dans la MRC de Témiscamingue en Abitibi-Témiscamingue.


Le nom Guigues fait référence à Mgr Joseph-Eugène-Bruno Guigues, qui fut le premier évêque d’Ottawa. Celui-ci avait fait sa profession d’Oblat devant saint Eugène de Mazenod.

Témiscaming est une ville du Québec située dans la municipalité régionale de comté de Témiscamingue de la région administrative de l’Abitibi-Témiscamingue. La municipalité est membre de la Fédération des Villages-relais du Québec.


Son nom vient de sa proximité du lac Témiscamingue dont le nom remonte à l’algonquin tim, « profond » et kami, « étendue d’eau », auquel on a adjoint le locatif -ing, « dans ».

La ville de Témiscaming est située dans la partie sud de la région de l’Abitibi-Témiscamingue, dans l’extrême ouest du Québec, au bord de la rivière des Outaouais qui sépare l’Ontario du Québec. Elle est reliée par route au reste de l’Abitibi-Témiscamingue, vers le nord, par la route 101, mais pour rejoindre le sud du Québec il faut passer par l’Ontario (en prenant la route 63). Témiscaming a une élévation de près de 200 m par rapport au niveau de la mer. Par ailleurs, cette ville et Ville-Marie détiennent le record de chaleur enregistré au Québec (40 °C durant l’été de 1921), malgré leur situation géographique.

Laniel est un territoire non organisé situé dans la municipalité régionale de comté du Témiscamingue, dans la région administrative de l’Abitibi-Témiscamingue, au Québec.


Son nom rappelle celui d’Armand Laniel (1866-1928), Oblat résidant à Maniwaki qui fut chargé des missions du lac Barrière et du lac Victoria.

Ville-Marie est une ville du Québec située en Abitibi-Témiscamingue. Elle est la municipalité la plus peuplée du Témiscamingue.
La ville a été établie à la fin du xixe siècle. Elle se développe autour de la colonie missionnaire des Oblats et des postes de compagnies forestières qui exploitent les grandes forêts du lac Témiscamingue pendant plusieurs décennies. La mission des Oblats s’était déjà établie en 1863 près du fort Témiscamingue. Ce fort avait été construit en 1679 sur une île à environ 20 km de l’emplacement actuel par des traiteurs de pelleteries et détruit vers 1688. Le Chevalier de Troye s’y est arrêté en 1686 pendant son expédition pour reprendre les forts de la Baie James à la Compagnie de la Baie d’Hudson. Il a été fondé de nouveau à son emplacement actuel en 1720.

 

La colonisation des terres autour du lac par des familles des régions plus anciennes du Québec conduit à la fondation de Ville-Marie en 1886. Le nom rend hommage à la patronne des Oblats de Marie-Immaculée, communauté religieuse à l’origine de la localité. Ville-Marie est constituée en village en 1897.

 

Le fonds d’archives de la paroisse Notre-Dame-du-Rosaire de Ville-Marie est conservé au centre d’archives de Rouyn de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Photos de la région de Témiscamingue

Le Témiscamingue est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec située dans la région administrative de l’Abitibi-Témiscamingue, créée le 15 avril 1981.

 

Son chef-lieu est la municipalité de Ville-Marie. Le sommet le plus élevé est le mont Wakwik. Il est situé au nord-ouest du Québec dans la région sud-ouest du Témiscamingue. Cette montagne d’une altitude de 426 mètres est enclavée dans la ZEC (Zone d’Exploitation Contrôlée) Kipawa. Elle se situe au Nord du lac Grindstone, au Sud du lac Pommeroy, à l’Est du parc national d’Opémican au réservoir Kipawa et à l’Ouest du Grand-Lac-Kikwissi. Ce nom « Wakwik » d’origine algonquine signifie « Montagne céleste ». Il y a déjà eu une tour à feu entre le lac Pommeroy et le lac À-la-Truite.

 

La MRC est formée de 20 municipalités et de deux territoires non organisés. Son territoire englobe aussi deux réserves indiennes, Kebaowek et Timiskaming, ainsi que deux établissements indiens, Hunter’s Point et Winneway, lesquels ne sont pas représentés au conseil de la MRC. Source Wikipédia